Mémoire des murs

Certaines mémoires imprègnent les murs de toutes les habitations et influencent souvent les personnes mais d’une manière interactive, mais elles ne sont pas des phénomènes inexplicables et inévitables comme on le croit trop souvent : elles sont accessibles à l’étude et à l’identification par des géobiologues expérimentés.

Elles se manifestent d’une manière très précise, sous la forme de champs électromagnétiques décelables suivant le savoir-faire du géobiologue ; il opérera de préférence à l’aveugle pour ne pas influencer ce qu’il teste. Comment arriver à traiter ces mémoires, mettre au jour leurs significations, les raisons de leur présence et de leurs influences spécifiques ? Les géobiologues arrivent à mettre en jeu un savoir-faire thérapeutique pointu qui vise à permettre aux habitants de les relier avec leurs vécus (passé personnel et transgénérationnel).

Ces mémoires se traduisent, par exemple, au travers d’une impression de charge pesante, de mal-être et elles peuvent être stressantes ; elles ont une incidence défavorable sur la qualité énergétique du lieu de vie comme sur la qualité de vie des personnes qui en sont les cibles. Envahissant le cadre intime du lieu d’habitation, certaines étaient présentes avant l’arrivée des habitants ; d’autres sont apparues ensuite comme des empreintes énergétiques liées à des événements familiaux importants. Cependant, elles n’affectent alors que les habitants qui ont en eux une sorte de profil psychique en résonance.

Dans un habitat perturbé, il y a des endroits où l’on se sent bien et d’autres, au contraire, que l’on n’aime pas fréquenter. Les animaux sont aussi très sensibles à de tels phénomènes, ce qui peut les conduire à ne pas vouloir pénétrer dans certaines pièces ; après « correction » appropriée de ce type de lieu et effacement des traces énergétiques, on observe la plupart du temps que ces derniers les réintègrent sans crainte. Parfois, en pareils cas, on peut percevoir la sensation étrange d’une présence particulière, comme si l’on était observé ; cela peut alors s’accompagner de phénomènes physiques tels que des souffles d’air, une impression soudaine de fraîcheur, des odeurs particulières (dont on ne vient jamais à bout avec des moyens classiques), des bruits, etc.

Lorsque de telles énergies, souvent perçues comme malfaisantes, sont présentes dans un lieu, elles peuvent diminuer de manière importante le niveau vibratoire général de la maison et ainsi en réduire grandement sa qualité à maintenir ses occupants en bonne santé, à favoriser une bonne récupération et un bon sommeil. Cela peut aussi se traduire au travers de dysfonctionnements divers dans les circuits électriques, comme dans la circulation de l’eau (arrivée et évacuation), sans qu’évidemment la cause puisse être attribuée avec certitude à des phénomènes purement physiques.

La plupart du temps, ces mémoires expriment des empreintes énergétiques de diverses natures et réactivent des vécus émotionnels, des facteurs psychobiologiques, transgénérationnels ; cela peut aller jusqu’à l’impression qu’une « entité » est venue se loger en soi et dont nous sommes dépendants, comme envoûtés d’une manière telle que nous estimerions en être les pures victimes ; en fait, leur analyse en profondeur au cas par cas, révèlent que c’est notre inconscient qui leur a donné le pouvoir d’interférer, ce qui se révèle finalement utile à condition d’en décrypter le sens personnel et d’agir adéquatement pour en supprimer les effets indésirables..

En revanche, après correction des lieux et autres interventions efficaces sur les résonnances personnelles de ceux qui en sont perturbés (ce qui dépend d’abord de leur propre investissement), ces phénomènes perturbateurs disparaissent ; des améliorations de l’état physique, de l’état psychologique, du sommeil, etc. des habitants sont alors couramment observées. Pour y arriver en profondeur et durablement, un accompagnement approprié en médecine de l’habitat et quelquefois prolongé en séance individuelle, concourra à s’en libérer plus rapidement ; à ce point de vue, de telles « possessions » s’avèrent utiles, de l’aveu de ceux qui s’en sont affranchis. En effet, à la manière de ce que font (utilement) certaines maladies, elles agissent comme des tentatives pour se libérer de sortes de “programmes” personnels souffrants (vécus particuliers qui ont entraînés des blessures émotionnelles non cicatrisées, la plupart du temps occultées et logées dans la petite enfance, voire dans le ventre maternel…).